A.L.F. le film... En salles le 7 novembre 2012 "J'espère qu'A.L.F. sensibilisera de nombreux spectateurs qui deviendront, peut-être à leur tour, des militants de la cause animale... C'est mon voeu le plus cher !"
L'histoire Où était Franck Kovick dans la nuit du 24 au 25 décembre ? A cette heure précise où un groupe d'activistes a forcé les portes d'un élevage en vue de libérer des chiens destinés à la vivisection.
Quelques heures après les faits, les premiers éléments de l'enquête semblent désigner ce modeste professeur de théâtre comme le coupable idéal.Sarah, une journaliste qui a souhaité en savoir plus sur les motivations de l'organisation dont il se réclame, admire en lui son abnégation et ses convictions. Dans sa cellule, Franck retrace sans fin l'itinéraire qui les a menés, lui et son équipe, jusqu'à cette nuit de réveillon. Etait-ce trop pour ces gens somme toute ordinaires ?
Conscients que l'illégalité de leur action les tenait en joue et que la moindre erreur serait fatale, chacun avait minutieusement préparé son rôle. Le hasard était proscrit, l'échec interdit. Qui, parmi ces résistants volontaires et intègres, avait pu trahir Franck, et le dénoncer ? Pour lui, la preuve qui atterrit sur le bureau du capitaine Chartier n'a pas de sens. Le policier a en face de lui un prévenu tour à tour mutique, mystique, à la fois entouré et isolé, et pourtant libre. Est-il un idéaliste ? Un extrémiste ?
N'a t-il pas mieux à faire que défendre des animaux ? Quelle est cette organisation dont les activistes sont considérés par les polices du monde entier comme des éco-terroristes ? Peut-être les réponses se trouvent-elles quelque part avant cette date du 24 décembre, quand chacun des activistes de l'Animal Liberation Front se préparait à agir ? Dès lors, la confrontation entre Chartier et Kovick est une partie d’échecs à l’issue incertaine.
Des animaux prostrés dans des cellules en acier galvanisé, avec au fond des yeux la terreur muette du moment où la main de l’homme viendra les chercher, les torturer, leur briser les cervicales… C'est dans cette image que Franck a puisé le courage d'agir, et doit désormais puiser celui de tenir...
Le soutien de Brigitte Bardot
"Ecoterroristes", "extrémistes", aucun qualificatif n’est trop fort lorsqu’il s’agit de caricaturer et tenter de nuire à la protection animale… A en croire les médias, les défenseurs des animaux seraient devenus les petits frères d’Al-Qaïda !
Face à cette surenchère permanente, ridicule, il est temps de rétablir la vérité. Il est outrancier, profondément déplacé de qualifier de "terroristes" les activistes qui rendent leur liberté aux animaux. La violence n’est pas là, elle est dans l’exploitation aveugle, cruelle et quotidienne, de millions de bêtes rabaissées au rang de bien de consommation, d’outil de recherche.
Je soutiens et soutiendrai toujours les militants qui viennent en aide aux animaux, ils sont les résistants du XXIème siècle et je les aime.