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 Non au projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes

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MessageSujet: Non au projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes   Non au projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes Icon_minitimeVen 7 Déc - 11:34

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Non au projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes



L’aéroport de Notre-Dame des Landes, un investissement d’avenir ?

L’opposition à la construction d’un nouvel aéroport international, près de Nantes, grandit de jour en jour. Tout d’abord auprès des habitants, qui vont être chassés, puis des militants écologistes et des élus verts, qui y voient une énorme dégradation de l’environnement, et maintenant des nombreux citoyens et experts, qui ouvrent les yeux sur ce qui semble être un gigantesque gâchis financier, qui va remplir les caisses d’une multinationale (Vinci) avec l’argent des contribuables.

Si vous aussi êtes opposé à la construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, alors signez sans attendre notre pétition à Jean-Marc Ayrault.

Sinon, laissez-nous vous passer en revue les réalités que Jean-Marc Ayrault, son gouvernement et les élus locaux ne veulent pas prendre en considération.

Qui va payer la facture ? Les contribuables évidemment !

Alors que le gouvernement cherche à réaliser 50 à 60 milliards d'euros d'économies sur cinq ans, et que la France possède déjà plus de 150 aéroports, Nantes va se doter d'un deuxième aéroport flambant neuf, avec deux pistes d'atterrissage.

Le contrat de partenariat et de concession a été signé avec la société Vinci. Le coût total du projet est estimé à 560 millions d'euros. L'opérateur privé prend une partie du coût des travaux à sa charge (310 M€). L’Etat (130,5 M€) et les collectivités publiques (115,5 M€) fourniront le reste. L’ardoise est donc, au bas mot, estimée à 246 millions d’euros pour les contribuables.

Mais attention, le projet ne prévoit, bizarrement, aucun dépassement de budget... Or, dans ce genre de gros projets d'infrastructure, le prix initial est quasiment toujours sous-estimé, et les dépassements de budget (à la charge des contribuables bien sûr) atteignent facilement 30 à 35 %.

Ici, on peut donc s'attendre à au moins 80 à 100 millions d'euros de plus à payer.

Par ailleurs, les coûts de construction des futurs accès ferroviaires ont été éludés. C’est, par exemple, le cas de la liaison tram/train reliant le futur aéroport à l’agglomération nantaise, pourtant évalué à 150 millions d’euros supplémentaires, mais non comptabilisée dans les estimations de coût... Comme c'est pratique !

Au final, la somme déboursée par les contribuables devrait atteindre 400 à 500 millions d’euros.

Certaines estimations, relayées par le Canard enchaîné, vont même jusqu'à 3 ou 4 milliards d'euros, ce qui semble tout de même très élevé...

On pourrait rétorquer que le projet doit rapporter de l'argent. C'est ce qui est prévu dans le scénario du maître d'ouvrage. Mais une contre-expertise, effectuée à la demande d'une association opposée au projet, prévoit plutôt de grosses pertes.

En effet, ce rapport public (« Examen de l’analyse économique initiale de l’aéroport du Grand Ouest », CE Delft, octobre 2011) conteste les estimations coûts/bénéfices qui ont servi de base à la déclaration d'utilité publique.

Les promoteurs du projet prévoient en effet un gain économique de 607 millions d'euros par rapport au statu quo (maintien de l'actuel aéroport). Mais la vision est un peu trop optimiste, les bénéfices surestimés (notamment en terme d'économie de temps de trajet) et les coûts très sous-estimés (surcoûts, nouvelles infrastructures tram/train...).

La contre-expertise, plus prudente, estime qu'au mieux le projet coûterait 91 millions d'euros de plus que le statu quo, au pire 614 millions en estimant correctement les coûts de construction... En bref, le projet de construction d'un nouvel aéroport est un gouffre financier qui pèsera très lourdement sur des comptes publics déjà détériorés.

La France est au bord du gouffre et n'a plus les moyens de se payer de nouvelles infrastructures. Alors si, vous aussi, vous pensez que ce poids est intolérable pour les contribuables, cliquez ici.

Mais vous vous dites peut-être que si la construction de cet aéroport est coûteux, il peut être utile en matière d'infrastructures d'avenir. Il faut voir loin, ce qui peut justifier de lourds investissements qui généreront des emplois et le développement de demain. Voyons cela...

Un aéroport inutile de plus ?
Qui sait qu’aujourd’hui, en France, il existe plus de 150 grands aéroports capables d’accueillir des millions de passagers, bien plus que dans de nombreux autres pays européens ?

Censés dynamiser les territoires dans lesquels ils sont implantés, ce sont pourtant des gouffres non rentables, lourdement subventionnés, accueillant très peu de passagers par rapport à leurs capacités. On peut citer l’aéroport de Paris-Vatry, qui accueille moins de 3 000 passagers par an, et dont la construction et l’entretien ont coûté 220 millions d’euros, financés à 80 % par le conseil régional.

Mais ce n’est pas le seul aéroport quasi désert en France ! A Angers (115 km de Nantes), les pouvoirs publics ont déjà financé un somptueux aéroport moderne, doté de deux pistes, inauguré en 1998.
Sa construction avait coûté 23 millions d’euros à l’époque.
Aujourd’hui, il accueille moins de 5 000 passagers par an. Le déficit d’exploitation, payé par les contribuables, est aujourd’hui d’environ 1 million d’euro par an. Chaque passager de l’aéroport est donc subventionné à hauteur de 200 euros par le contribuable !

Vous pensez que ces cas isolés sont caricaturaux ? Regardez plutôt l’aéroport de Tours. Jusque dans les années 2000, il accueillait, bon an mal an, 3 000 passagers par an. Un véritable gouffre financier !

Confié au privé en 2010, il accueille désormais 110 000 passagers par an. Un succès ? Peut-être, mais au prix de lourdes subventions reversées aux compagnies low-cost qui gèrent la principale ligne Tours-Londres. Les contribuables payent à l’aéroport, via la Chambre de Commerce et d'Industrie (entre autres), plus de 1,5 million d’euros par an de subventions selon la Cour des Comptes.

Et encore, ces cas ne concernent que le quart nord-ouest de la France.

Et la situation est la même partout sur le territoire... Alors que le transport aérien, partout dans le monde, s’organise autour de « hubs » centraux raccordés aux transports en commun et à la route, les barons locaux se font concurrence pour avoir le plus gros aéroport régional.
Pas étonnant que les taxes locales explosent chaque année ! Les contribuables financent les caprices et la mégalomanie des élus locaux.

Alors stoppons la mise en œuvre de cet aéroport qui ne sert à rien en signant notre pétition ici.

L’aéroport de Nantes est déjà plus que suffisant

A Nantes, il existe déjà un aéroport de taille internationale, appelé Nantes Atlantique... La gare SNCF de Nantes est par ailleurs utilisée pour les transferts vers les « hubs » parisiens. Mais, ces installations importantes ne semblent pas suffire aux pouvoirs publics.
L'aéroport actuel serait soi-disant proche de la saturation.
Vraiment ? L’aéroport actuel de Nantes Atlantique accueille aujourd’hui environ 3 millions de passagers par an, pour 60 000 mouvements (atterrissages et décollages). C'est moins qu'en 2003 ! Moins d'avions décollent et atterrissent depuis cet aéroport qu'au début des années 2000. On est donc loin de la saturation, qui interviendrait à 4 millions de passagers, selon l'Etat et les collectivités !

Pourquoi 4 millions de passagers par an ? Parce que c'est la capacité du prochain aéroport, qui devrait accueillir 9 millions de voyageurs dans un deuxième temps, ce qui correspond aux prévisions très optimistes de croissance de trafic de l’étude prévisionnelle à l'horizon 2050.

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Pourtant, des aéroports de plus petite taille et bien mieux gérés, comme Genève (Suisse), San Diego (Etats-Unis), Gatwick et Stansted (Angleterre), enregistrent quatre à dix fois plus de passagers par an, et ils n'ont qu’une seule piste, comme celui de Nantes actuellement !

L'aéroport de Nantes a d’ailleurs été classé en catégorie A (catégorie de capacité internationale) et a même reçu le trophée ERA Award 2011-2012 du meilleur aéroport européen, remis par l'association des compagnies aériennes européennes, rien que ça !

Certains vous diront que les plus gros porteurs, comme l'Airbus A380, ne pourront pas atterrir... Eh bien, c'est faux ! L'A380 s'est déjà posé en 2010 sur le tarmac de l'aéroport, moyennant quelques aménagements de piste et un renforcement de la sécurité. De simples travaux de modernisation de l'aéroport actuel coûteraient donc bien moins cher que d'en construire un nouveau !

C'est pourquoi, si vous êtes convaincu qu'il est préférable de moderniser l'aéroport actuel, soutenez-nous et montrez votre opposition.
Mais ce n'est pas tout...

Des prévisions de trafic tirées par le low-cost

Sur ces dix dernières années, la plus grosse partie de l’augmentation du trafic aérien provient de la croissance des vols low-cost. A priori, aucun problème. C’est une nouvelle opportunité offerte à de nombreux passagers qui ne pouvaient prendre l’avion jusque-là. Mais dans le domaine du low-cost, les aéroports régionaux se font concurrence en subventionnant les compagnies aériennes privées pour les attirer vers eux !
La croissance du trafic est donc en grande partie artificielle, dopée au prix fort par les subventions publiques versées aux grands opérateurs low-cost. Bref, la menace de saturation brandie par les politiques est la conséquence d'un interventionnisme cynique..

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Un nouveau bétonnage de la nature

Le groupe Vinci, qui financera une partie de la construction (et qui obtiendra, en échange, une concession pour gérer l’aéroport...), propose sur ses plaquettes publicitaires un projet haute qualité environnementale, avec toitures végétalisées et espaces naturels de compensation d'après le dossier de presse du groupe...
Un projet qui sent bon le développement durable.

Mais ce qu’il faut savoir, c’est que l’emprise de ce nouvel aéroport, c’est-à-dire la surface qui va passer sous les bulldozers et devenir entièrement artificielle, est de plus de 1 640 hectares en comptant les infrastructures routières et ferroviaires (l’équivalent de 2 500 stades de football).

L’aéroport s'étendra donc sur une surface égale à la moitié de celle de l’aéroport Charles de Gaulle, qui accueille, lui, tous les ans, 55 millions de passagers avec 4 pistes d’atterrissage. Et au mieux les prévisions de trafic pour Nantes prévoient 9 millions de passagers à l’horizon 2050 !

Pour donner lieu à ce projet mégalomane, ce sont donc de nouvelles terres cultivables et zones humides qui vont disparaître, s'ajoutant aux 2 000 hectares de terres agricoles qui disparaissent chaque année dans le département de Loire-Atlantique, grignotés par l'artificialisation et le béton.

Dîtes STOP à ce projet coûteux, inutile et néfaste pour l'environnement !

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Emprise au sol du futur aéroport

Un faux transfert, car l’ancien aéroport fonctionnera toujours

Les promoteurs du projet parlent d’un transfert du trafic vers le nouvel aéroport, mais l’ancien continuera une partie de ses activités... Il accueille notamment sur son tarmac une usine Airbus, en activité, qui a besoin des pistes pour acheminer les éléments d'avions assemblés sur le site. Officiellement, l’avionneur ne compte pas déménager et restera localisé sur l’aéroport actuel.

Par ailleurs, l’activité de fret ne semble pas non plus appelée à être transférée vers l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Ce nouvel aéroport n'entraînera donc pas la suppression de l'ancien. Il s'ajoutera juste à la dizaine d'aéroports de taille importante situés dans un périmètre de 100 km autour de Nantes (Rennes, Tours...).

Le bruit, un faux problème…

Les promoteurs de l'aéroport mettent aussi en avant le problème du bruit.

5 117 personnes sont actuellement dans une zone de bruit « fort et modéré », alors qu’il n’y en aurait que 142 à Notre-Dame-des-Landes. Ce qu’oublient de mentionner les défenseurs du projet, c’est qu'en réalité, une partie des riverains sont plus affectés par le bruit du périphérique nantais que par celui des avions !

Du reste, le bruit des avions ne cesse de diminuer. 50 % de nuisances sonores en moins depuis 10 ans sur les nouveaux avions. Et dans de nombreux cas, d’après certains pilotes, ils seraient dans l’obligation, par directives des contrôleurs aériens de survoler inutilement la ville de Nantes, en attaquant la piste dans le sens inverse. Certaines mauvaises langues diront que c'est justement pour pousser la population à préférer le transfert aérien loin de chez eux.

Evidemment, le bruit peut gêner certains habitants. Mais la population touchée reste très faible au regard d'autres villes de France. A Toulouse par exemple, la population affectée par le bruit de l’aéroport est 12 fois plus importante qu’à Nantes.

Des milliers d’emplois à la clé, vraiment ?

Les pronostics officiels promettent 4 000 emplois pendant la construction de l’aéroport, et environ 1 000 emplois à terme, grâce à l’augmentation du trafic aérien. Mais les emplois liés à la construction sont évidemment temporaires. Pire, ils seraient créés de toute façon si l’argent était employé à d’autres projets, comme l’aménagement et la modernisation de l’aéroport actuel. Quant aux 1 000 emplois supplémentaires, évalués au doigt mouillé (environ 600 à 700 emplois par million de passagers supplémentaires), ils reviennent à 500 000 euros d’investissement par nouvel emploi créé, au minimum. Et puisque l’aéroport actuel pourrait accueillir ces passagers, ces emplois existeraient de toute façon.

Enfin, les prévisions ne tiennent pas compte des emplois détruits. Rappelons que 48 exploitations agricoles seront touchées. Certaines devront arrêter leur activité, ce qui devrait entraîner la disparition d’une centaine d’emplois.

Quelques milliers d’emplois achetés à prix d’or, qui existeraient autrement, voilà ce que promettent les défenseurs de l’aéroport.

Si vous êtes convaincu, signez sans plus attendre la pétition, mais si vous doutez encore, il nous reste 3 arguments à vous donner, et pas des moindres !

On peut réellement préparer l'avenir sans investir lourdement

"Absolument pas !" vous diront les responsables de l'administration, qui balayent d'un revers de main les propositions alternatives.

Ah bon ? Pourtant, l'aérogare pourrait être modernisée. Il suffirait de construire d'autres terminaux, sur des emplacements déjà existants dans la zone de l'actuel aéroport. Le parking pourrait également être agrandi ou un radar local installé, afin de permettre l'augmentation du nombre de mouvements d'appareils.

Un autre choix, tourné vers l'avenir, pourrait consister à la création d'une nouvelle piste, mieux orientée, plus longue, évitant le survol de l'agglomération nantaise. Les associations proposant cette alternative estiment le coût à 65 millions d'euros (bien moins cher qu'un nouvel aéroport) et seulement 200 hectares de terrains nouveaux.

Sans compter l'aéroport de Rennes, qui accueille à peine 500 000 passagers par an, qui est sous-exploité, et sur lequel on pourrait délester une partie des vols.

Pourtant, toutes ces propositions restent lettre morte, quand elles ne sont pas écartées par des arguments peu convaincants de responsables et maîtres d'ouvrage, comme par exemple la réponse du Préfet à la création d'une seconde piste.

Le nouvel aéroport, un trop beau fromage pour les élus

Pourquoi, alors que Nantes est déjà dotée d'un des meilleurs aéroports européens, capable d'absorber le trafic à venir et qui peut encore être agrandi ou modernisé, tant de gens veulent-ils en construire un autre ?

Car le projet est juteux bien sûr !!!

Pour Vinci d'abord, qui par ce partenariat public-privé aux petits oignons, accompagné de concessions pour 5 autres aéroports de la région (qui on l'a vu, sont des puits sans fond de subventions publiques), remporte un beau contrat. Vinci conserve d'ailleurs la gestion de l'autre aéroport, et se voit aussi donner en concession de nouveaux parkings géants...

Et pour la mairie ? Facile ! Les maires sont incités à faire croître la population de leurs communes, afin d'attirer de la main d'œuvre, mais également de nombreuses subventions publiques nationales, qui augmentent leur pouvoir.
A ce titre, Nantes a prévu d'attirer près de 150 000 nouveaux habitants. Elle devra donc s'agrandir, libérer des terrains...

Avec ce nouveau projet d'aéroport, 240 hectares de terrains vont être libérés au sud de l'agglomération. Une aubaine ! Des centaines d'hectares qui deviennent constructibles, ce qui permettra aux élus de faire une plus-value financière importante, avec les risques de clientélisme que l'on connaît...

Sous prétexte d'intérêt général, ce sont les élus qui vont se régaler grâce à la spéculation immobilière financée par les impôts !

Tout n'est pas joué car il reste des recours possibles

Le président de la République François Hollande est, comme le gouvernement, très favorable au projet. En réponse aux manifestations et à l’opposition grandissante à la construction de l’aéroport, il déclarait le 16 novembre dernier : " Il y a aussi la force du droit et la primauté de la volonté, non seulement de l'Etat mais aussi des élus, et au-delà même des alternances politiques."

Pour le Président, c’est donc la volonté des élus et la loi qui priment sur les attentes des Français. Or, François Hollande reconnaissait également que tous les recours légaux n'avaient pas encore échoué. Ainsi, un recours devant la Cour de justice des Communautés européennes est possible.

De plus, les arrêtés d’autorisation du début des travaux n’ont pas encore été pris et feront sans doute également l’objet de recours. Enfin, la déclaration d’utilité publique a été faite alors que les deux tiers des avis recueillis pendant l’enquête publique étaient négatifs...

La force du droit ne peut donc être invoquée pour continuer ce projet. Du point de vue économique, on a vu qu'il était difficile de croire aux arguments du comité de pilotage et des élus de la Région, tant les coûts que vont supporter les contribuables sont importants. Enfin, ne négligeons pas l'impact environnemental, qui a été développé par les nombreuses associations écologistes opposées au projet.

Ainsi, est-il encore normal de poursuivre un projet qui ne semble être justifié, ni par le droit, ni par l'économie, ni par l'environnement, mais plutôt par des intérêts politiques locaux bien compris ?

Evidemment non ! C'est pourquoi, si ce n'est déjà fait, nous vous invitons à signer maintenant notre pétition envoyée au Premier ministre. Vous aussi, vous devez vous opposer à ce projet qui n'a ni sens, ni justification.
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