21 avril 2010
Agression de Perpignan : l'AGRIF assurera la défense de la famille attaquée
Alors qu'un père de famille était intervenu pour faire cesser les troubles et tapages causés par des voyous du quartier, ces derniers ont attaqué le domicile de la famille obligeant la mère et son bébé de 8 mois à se réfugier dans les toilettes tandis que la bande de sauvages tentait de défoncer la porte du jeune couple, son mari s'apprêtant à faire face aux assaillants déchaînés. Menaces de mort et de viol, injures racistes ont fusé.
Un seul suspect a été arrêté puis relaché parce qu'il n'a que 15 ans. Bien sur...
Choquée par cette violente agression, la famille va déménager. "C'est fou mais c'est à nous de partir" délcare le père de famille.
Evidemment, ils ne pourront pas compter sur la Halde pour les défendre, ce ne sont que des Français de souche.
L'AGRIF a donc décidé de prendre à sa charge la défense de ce jeune couple et désigné un avocat pour que les coupables soient recherchés, punis et que cette famille soit indemnisée pour le préjudice moral et matériel qu'elle a subi.
Y.B.
Le 18 avril dernier, Markus, ancien pompier de Paris, témoignait sur Fdesouche.com de la scandaleuse agression dont sa famille avait été victime. Aujourd’hui ses propos sont corroborés par des articles du Midi Libre et de l’Indépendant, et il est obligé de fuir la ville avec sa famille.
Celui ci affirme par ailleurs que des insultes racistes anti-françaises et anti-blanches ont été proférées par les voyous. A cette heure, ni la HALDE, ni la LICRA, ni le MRAP, ni SOS Racisme n’ont daigné réagir.
Un groupe d’individus a défoncé la porte du domicile d’un jeune couple dans la nuit de samedi à dimanche, les menaçant de mort. Le mari leur avait demandé de calmer le défilé bruyant de leurs scooters et leur avait jeté de l’eau.
“Réfugiée aux toilettes avec le bébé ma femme a téléphoné à la police”L e problème, c’est l’impunité. Beaucoup de gens continuent de subir et de garder le silence. Mais il faut le dire pour que cela cesse même si ce n’est pas facile. Ceux qui restent ont peur d’être victime de représailles, c’est logique.” Marc-Henri et Myriam sont encore sous le choc. Pourtant, ce jeune couple d’une trentaine d’années a choisi courageusement de raconter l’agression dont il a été victime ce week-end, à son domicile de la rue des Trois-Journées, au centre de Perpignan. “Pour dénoncer ce qu’il se passe”. Parce qu’ils ont le sentiment que cette histoire aurait pu mal tourner pour eux, mais aussi et surtout, pour leur bébé de 8 mois.
“Ils nous menaçaient de nous tuer et de violer ma femme”Tout commence samedi dans la soirée. Le couple est dans son appartement au troisième étage et regarde une émission de télévision tandis que leur petite fille dort. Une tranquillité toute relative perturbée par le ballet des scooters qui “comme tous les vendredis et samedis soirs passent à toute vitesse et font du raffut en bas sans discontinuer”.
“J’étais un peu échaudé. Ma femme s’est fait accrocher par un de ces scooters avec la poussette il y a un mois environ. La petite est tombée sur le front. Au lieu de s’excuser, le gars a souri. Alors, samedi, je me suis permis, en leur donnant poliment du monsieur, de lever un peu la voix et de leur demander de se calmer”. Mais, pour toute réponse, le jeune homme, ancien sapeur-pompier de Paris, reçoit une bordée d’injures.
source