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 RENDEZ-MOI MON ENFANT !

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patriote

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Date d'inscription : 13/12/2009

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MessageSujet: RENDEZ-MOI MON ENFANT !   RENDEZ-MOI MON ENFANT ! Icon_minitimeMer 26 Jan - 13:42

Pour sauver l'enfant Christelle des maltraitances et pour son retour chez sa maman.

A l'attention de M. Nicolas SARKOZY et Messieurs les Ministres et Parlementaires concernés
Née le 27 novembre 1999, l’enfant Christelle ne cesse de réclamer à revenir avec sa mère dans sa maison natale d’où elle a été brutalement arrachée le 27 mai 2004 suite à un jugement mensonger et diffamatoire basé sur une simple hypothèse d’allégation de « syndrome d’aliénation parentale dans l’avenir », pour être remise entre les mains du parent condamné pour violences réitérées, commises notamment sur la mère tenant l’enfant dans ses bras devant des policiers lors de leurs nombreuses interventions.
Les médecins et psychologues alertaient la maman sur la pathologie du père qui est un manipulateur-pervers, sujet à des crises de folie avec violences matérielles et menaces de mort, et la pressaient de demander le divorce.
Le 12 juin 2001 l’agresseur partait de force du domicile en coupant les vivres après avoir volé toutes les économies, puis durant 3 ans ne voyait l’enfant qu’à un point-rencontre, vu sa dangerosité et ses aveux de troubles psychiatriques devant les juges correctionnels.
Ce même jour l’un de ses amis commandant de police rend une visite-surprise à la maman pour la menacer « de lui faire enlever son enfant par un juge de ses connaissances, si elle maintient ses plaintes pour violences contre un policier ».
Ces menaces ont été appliquées en avril 2004 en ne tenant aucun compte du rapport social de mars décrivant le bien-être de l’enfant avec sa mère, qui désormais ne la voit plus que 4 jours par mois. Dès lors, les violences se sont reportées sur l’enfant Christelle, devenue souffre-douleurs par vengeance de condamnations : signalements des écoles (coups, négligences, carences graves…), nombreux certificats médicaux, ITT jusqu’à 10 jours, témoignages de toutes parts, plaintes multiples, etc…
Les auditions filmées et les dossiers de preuves disparaissent mystérieusement, comme les plaintes pour récidives de violences sur la maman. Malgré l'épais dossier de preuves, aucune juridiction n’accepte de changer la situation, même avec le rapport d’expertise pour la Cour d’Appel concluant, le 10 mai 2006, au retour de l’enfant chez sa mère, appuyé par plusieurs avis pédo-psychiatriques et médicaux dont ceux de l’éminent Dr A. Bottero de Paris.
Cette 3ème expertise révèle que l’agresseur travaille directement avec le tribunal, ce qui explique le parti-pris scandaleux des magistrats et leurs refus de sauver Christelle par les mesures d’urgence qui s’imposent, et de suivre un autre rapport antérieur, du 17 janvier 2006, écrit par leurs propres services sociaux demandant le retrait de la garde au père sur la base de ses carences. L’auteur des maltraitances, qui a toujours considéré l’enfant comme un otage, tente même de la « marchander contre les meubles et l’argent de la maison ». Il dépose de multiples plaintes et fabrique des faux dossiers d’accusations avec l’aide de ses collègues. La maman subit depuis 2001 des enfermements arbitraires avec tortures de toutes sortes et enfoncement de sa porte, mise à sac de sa maison, vol, harcèlement de convocations, menaces de coups si elle ne signe pas des faux PV, privations d’eau, de nourriture, de médicaments, d’avocat, et du simple droit d’alerter l’entourage.
Des personnalités locales lui confirment « qu’il y a un réseau de ripoux dans la région ».
L’affaire est connue du Gouvernement et de l’IGPN depuis 2002, et s’amplifie.
La CNDS reconnaîtra en mai 2009 les abus de pouvoirs des ripoux, et enverra son avis au Garde des Sceaux pour cause de dissimulation de dossiers de procédures par les procureurs, ce qui prouve le caractère frauduleux de leurs méthodes pour salir le casier judiciaire d'un innocent par tous les moyens, et tenter de l'enfermer abusivement.
Eté 2007 : l’enfant Christelle écrit une longue lettre à Monsieur SARKOZY, décrivant les horribles maltraitances et violences dont elle est victime. Ses tortionnaires (le père et ses parents) n’ont pas hésité à l’enfermer dans une cave noire et à l’attacher sur une chaise les mains derrière le dos, lui donner de multiples coups sur la tête et sur le corps, lui raser les cheveux, l’humilier et l’insulter constamment. Ceci a été dénoncé dans des auditions filmées, enfin obtenues à ce jour (diffusion sur blog). Elle est en outre coupée de sa maman durant de longues périodes jusqu’à un mois, avec empêchements de contacts téléphoniques.
Un déménagement l’a éloignée davantage de sa mère depuis septembre 2008.
Christelle couvre ses cahiers scolaires d’inscriptions « je veux revenir avec maman » en refusant de travailler. Elle ne cesse d’écrire des lettres pour crier sa souffrance et dénoncer chaque fait nouveau. Fin 2008 son père veut la forcer à écrire une fausse lettre contre maman. Devant son refus, il jette ses jouets par la fenêtre et à la poubelle. Traitée de façon inhumaine, elle est même privée de certains repas et goûters, n’a pas le droit de prendre des bains ; on refuse de la soigner quand elle est malade. Elle fait des cauchemars et se dessine « en prison chez son père » ou même assassinée. Elle va jusqu’à souhaiter la mort de son agresseur pour vivre tranquille avec sa maman, qui depuis sa naissance se consacrait à elle à temps complet. Le lien maternel indestructible est resserré par les multiples entraves aux relations mère-enfant.
Toutes les procédures sont susceptibles de nullité vu les nombreux vices de forme.
L’arrêt de Cour d’Appel qui refusait de suivre son propre expert a été cassé le 23 janvier 2008 par la Cour de Cassation de Paris, qui renvoie "devant une autre formation" en appel. L'audience est reportée indéfiniment par les adversaires. Tout est fait pour prolonger le calvaire de l'enfant. Les juges l'ont entendue plusieurs fois jusqu'en mai 2010 et reconnaissent dans leurs jugements que Christelle demande à retourner avec sa mère. Ils s'obstinent à rejeter le dossier très gênant et les conclusions, pourtant régulièrement signifiés.
Le 27 avril 2009 les adversaires réclament par avocats 100.000 euros contre la restitution de l'otage Christelle à la maman. Ils se vantent eux-mêmes et devant témoins que "toutes leurs procédures sont payées par le Ministère de l'Intérieur". C'est-à-dire que le gouvernement soutient un agresseur conjugal et paye son harcèlement depuis 10 ans, aux frais du contribuable.

L’ensemble des preuves, lettres et photos sont diffusées sur le blog :
http://enfantchristelle.sosblog.fr/index.htm

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