Les Sud-Africains vivaient mieux sous le régime de l’Apartheid
Après l’échec de 15 ans de pouvoir de la majorité noire, conduite par l’ANC, les pauvres affichent clairement qu’ils vivaient mieux sous l’ancien régime dirigé par les Blancs. Sur les pancartes ci-dessus, on peut lire : »L’ AWB était meilleur que L’ANC. » Et « Nous avons voté pour une vie meilleure pas pour pire. Nous vivons comme des cochons. »
L’AWB était le mouvement des Afrikaners et l’ANC celui conduit initialement par Nelson Mandela. Depuis 1994, le pays ne cesse de s’appauvrir. Comme au Zimbabwe, la redistribution des terres aux Noirs a été un échec total. Si bien que les autorirités sud-africaines ont stoppé cette redistribution car les seules fermes qui produisent vraiment sont celles qui sont dirigées par les fermiers blancs.
Cela n’a pas empêché que plus de 3300 fermiers blancs soient massacrés depuis la fin de l’Apartheid. Le pays qui était le grenier à grain de l’Afrique, n’arrive même plus aujourd’hui à nourrir sa population.
Les responsables de cette catastrophe humanitaire sont évidemment les pays occidentaux (USA, France en premier) qui, poussé par l’idéologie égalitariste et la religion des droit de l’homme, ont boycotté l’Afrique du Sud et qui ont contraint les Blancs à remettre le pouvoir à la majorité Noire. Mais tout de suite des affaires de corruption ont été mises à jour, notamment avec l’ex. femme de Nelson Mandela, Winnie. L’incompétence et le profit personnel ont rapidement dégradé la vie des plus humbles et contribué à faire de ce pays autrefois prospère, un territoire désolé où règnent, chômage, violence, maladie et insécurité. Gageons que la prochaine coupe du monde de football va être un piège meurtrié pour nombre de supporters et touristes. Que les viols, les agressions en tout genre vont se multiplier, ainsi que les meurtres, mais comme toujours les médias occidentaux, poursuivant leur mission de désinformation, n’en parleront guère.
Le pouvoir donné à l’élite Noire par la pression des pays du Nord, n’a fait que détériorer la vie de la population africaine Noirs et Blancs confondus, mais pendant que l’élite au pouvoir as’est considérablement enrichie, es pauvres sont devenus encore plus pauvre. Certes, les conditions de vie sous le régime de l’Arpartheid n’était pas brillantes pour les pauvres, mais leur niveau de vie était supérieur à celui de bien des pays d’Afrique sub-saharienne..
Le gouvernement a reconnu, le mois dernier, son échec : selon le ministre du Développement rural, Gugile Nkwinti, «plus de 90% des fermes (restituées à des communautés noires) ne sont plus productives».