Le président de la SNCF a procédé à une cérémonie de circoncision mentale hier, s’avilissant devant le Lobby juif comme rarement un homme l’avait fait. Il a prétendu notamment que la SNCF fut « un rouage de la machine nazie d’extermination » [sic]
Mais le Moloch en réclame toujours plus. A peine Guillaume Pépy avait-il achevé son discours de reniements, de mensonges et de haine anti-européens que les premières critiques fusaient du rang de ses maîtres. Rositta Kenigsberg – pour le centre éducatif de Floride consacré à ce qu’ils appellent « shoah » – a dénoncé le président de la SNCF : « Ce n’est pas une demande de pardon, ce ne sont pas des excuses complètes. [...] Qu’il vienne demander pardon ici, aux victimes et aux survivants eux-mêmes. Qu’il les rencontre, qu’il s’assoie avec ceux qui ont connu cela » a-t-elle éructée, poussée par une haine atavique.
Un autre lobbyiste s’est essuyé les pieds sur le Pépy : « tant que la SNCF ne prendra pas sa pleine responsabilité pour sa collaboration avec les nazis et ne paiera pas des réparations, elle restera le sujet d’une contestation publique » a déclaré Raphael Prober, avocat grassement rémunéré avec l’argent extorqué aux contribuables.
Et alors que Guillaume Pépy affirmait « donner » un terrain pour que soit construit un nouveau temple de la religion holocaustique, la SNCF annonçait le même jour que les Français payeraient leurs billets 2,85% plus cher, soit bien plus que l’inflation officielle.
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